Re: Kennerton Odin mk2; Odin Thridi (mk3); Thror; Vali; Magni et autres casques Kennerton
Publié : mar. sept. 03, 2019 10:47 pm
Bonsoir à tous.
Bonsoir Bruno (si tu me lis ici).
Je viens enfin d'écouter l'enregistrement 3 micros "bright_EQ.flac" du Bösendorfer de ma mère, fait par mon frère Bruno (écoute assez rapidement il faut le dire)
fichier "BOSTST12_3_tracks_bright_EQ.flac" accessible à l'adresse suivante: http://dl.free.fr/nKJAm572y
Suivi de nouveau de l'écoute du même enregistrement 3 micros, mais cette fois-ci sans EQ bright (écouté lui en totalité : soit plus de 80' d'enregistrement ! )
fichier "BOSTST12_3_tracks.flac" sera accessible à l'adresse suivante: http://dl.free.fr/n16KgS30C
Je le dis tout de suite, je n'ai pas du tout aimé l'enregistrement avec l'EQ Bright, comme présenté par mon frère ci-dessus.
l'EQ dénature complètement les timbres du piano, y compris dans le medium et les basses, en donnant des harmoniques pas du tout naturel.
De manière général, avec l'EQ, le registre aigu écrase le médium et encore plus les basses qui par contraste apparaissent comme abaissées et manquant de présence.
l'EQ appauvri les timbres généraux du piano, à commencer par l'aigu avec cette brillance excessive, et un manque de richesse, de feutré et de subtilité des notes aiguës (plus pauvres et plus dures). Je ne reconnais plus le piano.
Je suis alors retourné très rapidement à une écoute plus approfondie (que la première fois) de l'enregistrement à 3 micros (sans EQ), et je l'ai encore plus apprécié cette fois-ci que lors de la première écoute ; je l'ai même savouré !
J'ai tout de suite reconnu la sonorité du Bösendorfer de ma mère, déjà comme décrit lors de la première écoute, concernant les 3 registres graves (basses) - medium et aigu, mais cette fois-ci avec une meilleure perception des basses en niveau (tout en conservant leur très grande richesse), simplement du fait que lors de la première écoute, je n'avais pas suffisamment amplifié le son, enregistré à un assez faible niveau, il faut le dire (potentiomètre de volume de l'ampli Viva 2A3 à 13 h) alors que je viens de réécouter ce soir ce même enregistrement, cette fois-ci avec le potentiomètre de volume de l'ampli à 14 h.
Avec ce niveau d'écoute sensiblement plus élevé, cela donne, avec le Thror, une écoute bien plus dynamique et surtout bien plus proche du niveau réel que devrait entendre le pianiste (mon frère) en vrai en jouant sur le piano tout au long de ce long enregistrement.
Avec le potentiomètre de volume de l'ampli Viva 2A3 à 14 h, le niveau des basses est renforcé, mais proportionnellement plus (à l'audition) que le medium et l'aigu : ces deux derniers registres semblent alors très bien équilibrés et plus en adéquation avec le niveau des basses (et la puissance des basses) du piano.
C'est fort en niveau sonore, mais le piano, couvercle ouvert, joue également fort voir très fort : c'est un instrument très puissant, le piano Bösendorfer 200.
Juste un mot concernant les conséquences de l'ouverture du couvercle du piano Bösendorfer 200 par rapport à la position couvercle fermé : et bien, cela a pour conséquence d'augmenter assez nettement la puissance (et la projection) du medium et de l'aigu de l'instrument, tout, proportionnellement, de réduire dans le même l'importance des basses perçues (qui sinon sonnent en proportion plus fortes (par rapport aux deux autres registres) quand le couvercle est fermé).
Dans ces conditions, piano ouvert (couvercle ouvert), le piano Bösendorfer 200 de ma mère sonne très fort, et dans les fortissimo, souvent trop fort pour la plupart des oreilles (et prothèses auditives pour les personnes âgées) qui distorsionnent...
Sinon, je pensais aussi à une autre raison, qui pourrait faire percevoir les basses d'un Bösendorfer 200 comme plus faibles que les deux autres registre (medium et aigu), en plus du fait que le couvercle du piano soit ouvert (ce qui atténue les basses), et bien cela viendrait alors du fait du casque lui-même (et ses limitations intrinsèques) ; en effet le casque ne peut pas reproduire en son entier, sur tout le corps, les vibrations des basses originelles du piano, intenses et profondes, d'où une perception un peu tronquée de la fondamentale des notes les plus basses du piano écouté au casque, non perçues viscéralement par le corps entier comme le serait le pianiste (ou un spectateur) situé tout à côté du piano (d'où la remarque de mon frère Bruno dans son dernier post disant que l'on perçoit moins la fondamentale des notes les plus basses du piano sur son enregistrement à 3 micros (écouté avec le Thror) par rapport à la réalité du pianiste, qui lui perçoit mieux ces notes très basses, puissantes, ronflantes, en partie parce que c'est le corps du pianiste qui ressent (perçoit) ces vibrations sonores très basses, plus que son oreille interne).
Là, cela devrait faire plaisir à Pierre, puisque la solution pour une écoute "entière" du piano au casque, dans les notes les plus basses, serait alors d'apporter un caisson de basse (couplé au casque) pour faire percevoir à l'auditeur toute cette information manquante, en entier, de manière non tronquée, pour mieux reproduire toute la puissance (corporelle) émise par le piano dans les basses, comme peuvent le produire un piano Bösendorfer semi-pro de 2 m, et comme perçu par un spectateur (et le pianiste) situé à côté du piano.
Reste à savoir, si les timbres et harmoniques des basses du piano seront retransmises avec fidélité avec un sub (couplé au casque), sans justement détimbrer les basses qui font toute la richesse harmonique d'un piano Bösendorfer.
D'après mon frère Bruno, l'autre solution (apparemment plus facile), celle d'égaliser l’enregistrement au micro du piano en post-production en boostant les basses (avec l'EQ), serait mal adaptée, car cette solution "détimbrerait" les basses du piano, pour les raisons compliquées expliquées par mon frère ce matin dans son mail, mais qui me paraissent pertinentes .
Quote (mon frère Bruno) dans ce mail :
"(NB il est toujours très difficile de régler le niveau des notes basses d’un piano à l’équalizer – ce que je n’ai volontairement pas fait ici – car le niveau sonore d’une note grave est largement réparti sur plusieurs harmoniques
Ex do grave à 32hz à un niveau de n db sur la fondamentale 32, mais généralement aussi d’un niveau de l’ordre de 2 x n db sur l’harmonique 2 à 64hz, de l’ordre de 1.5 x n db sur l’harmonique 3 à 96hz, 1.2 x n db sur l’harmonique 4 à 128 hz, …
Ce qui serait éventuellement gérable si le piano ne comportait qu’une note basse, mais dégénère très vite car par exemple pour le ré grave à 37hz, tous ces réglages sont alors « décalés » et le son très peu fidèle…)
Au-delà de 4khz, ces réglages sont plus profitables car la perception de l’oreille est plus globale et les harmoniques de rang élevé des notes basses et médium se mélangent, surtout au-delà de 8khz,
toutefois, un excès de fréquences supérieures à 8khz peut être perçu globalement comme générant un son trop « dur », également plus fatiguant pour une écoute de longue durée ".
Cela dit, grâce à l'artifice d'écouter à un niveau sonore un peu plus élevé ce soir (que lors de la première écoute de ce même enregistrement), et bien la perception des basses perçues du Bösendorfer de 2 m de ma mère, et leur équilibre relatif par rapport aux registres médium et aigu, m'ont parus très satisfaisants pour cet enregistrement à 3 micros (sans EQ) et avec l'écoute du casque Thror.
Avec ce niveau d'écoute sonore (au casque) à un niveau plus élevé qu'hier soir, et àmah plus réaliste, les basses du piano étaient bien présents, ronflants si il le fallait, tout en conservant leur magnifique texture, qualité des timbres et richesse harmonique (sans "détimbrement") avec une dynamique explosive (sans compression) qui àmha peut mettre à mal certains casques (autre que le Thror) (nb: vibrations/saturations à craindre) pour l'écoute à niveau réaliste que je viens de faire ce soir (potentiomètre de volume de l'ampli Viva 2A3 à 14 h au lieu de 13 h).
Pour vous en convaincre, je vous invite à écouter l'enregistrement de mon frère (à 3 micros sans EQ au lien donné ci-dessus) qui dure 80 minutes environ ; mais pour vous faire gagner beaucoup de temps, vous pouvez d'emblée zapper (en vitesse accélérée) les 38 premières minutes de cet enregistrement (correspondant au départ à un enregistrement note par note des 88 notes du clavier du piano, un peu fastidieux à écouter et peu attrayant à entendre pour un mélomane, mais pas pour un technicien du son ).
A partir du temps 38' jusqu'à 50', mon frère joue de très beaux morceau de piano, et je vous invite à les écouter : pour moi, c'est réjouissant à entendre ; et je pense que ce sera de même pour vous (au niveau sonore qui vous conviendra le mieux).
A partir du temps 56'40" cela devient très intéressant pour une écoute à niveau réaliste (c'est à dire fort) (pour moi, potentiomètre de volume du Viva 2A3 à 14 h) de toute une série de notes jouées par mon frère, de manière répétées, sur différents registres ; vous découvrirez alors, à la fois la puissance du piano Bösendorfer 200, la force des attaques (qui peuvent faire saturer un casque et/ou vos oreilles) (ce qui est le cas dans la réalité pour les oreilles), et aussi la richesse harmonique de chaque combinaison de notes qui raisonnent entre les cordes et la table d'harmonie du piano (le cœur du piano qui fait toute la typicité et la richesse des pianos Bösendorfer, en l’occurrence, le modèle 200 (2 m) de ma mère).
Puis je vous invite à écouter cet enregistrement aux temps 76' et 77', précisément, où vous entendrez de nouveau l'incroyable richesse harmonique du piano (y compris avec un Thror ! ), et la durée phénoménale des "extinctions de notes" (pédale enclenchée) qui s’éternisent pour ne plus en finir sur la table d’harmonie du piano, dans ces enregistrements, à ces deux temps.
Enfin, pour finir, je vous invite à écouter le morceau de musique final de mon frère (aux temps 78' à 80') : morceau de musique final, montrant tout la puissance et la très grande richesse harmonique de ce piano Bösendorfer de 2 m, tel que enregistré de manière "amateur" par mon frère.
Juste une note (jeu de mot ) à vous donner, tout ce qui a été joué par mon frère dans cet enregistrement ci-dessus l'a été sans aucune partition de musique, uniquement de mémoire ou lors d'improvisations / adaptation de morceaux de musiques connus ...
Bravo pour lui (de ma part)
Eric
Bonsoir Bruno (si tu me lis ici).
Je viens enfin d'écouter l'enregistrement 3 micros "bright_EQ.flac" du Bösendorfer de ma mère, fait par mon frère Bruno (écoute assez rapidement il faut le dire)
fichier "BOSTST12_3_tracks_bright_EQ.flac" accessible à l'adresse suivante: http://dl.free.fr/nKJAm572y
Suivi de nouveau de l'écoute du même enregistrement 3 micros, mais cette fois-ci sans EQ bright (écouté lui en totalité : soit plus de 80' d'enregistrement ! )
fichier "BOSTST12_3_tracks.flac" sera accessible à l'adresse suivante: http://dl.free.fr/n16KgS30C
Je le dis tout de suite, je n'ai pas du tout aimé l'enregistrement avec l'EQ Bright, comme présenté par mon frère ci-dessus.
l'EQ dénature complètement les timbres du piano, y compris dans le medium et les basses, en donnant des harmoniques pas du tout naturel.
De manière général, avec l'EQ, le registre aigu écrase le médium et encore plus les basses qui par contraste apparaissent comme abaissées et manquant de présence.
l'EQ appauvri les timbres généraux du piano, à commencer par l'aigu avec cette brillance excessive, et un manque de richesse, de feutré et de subtilité des notes aiguës (plus pauvres et plus dures). Je ne reconnais plus le piano.
Je suis alors retourné très rapidement à une écoute plus approfondie (que la première fois) de l'enregistrement à 3 micros (sans EQ), et je l'ai encore plus apprécié cette fois-ci que lors de la première écoute ; je l'ai même savouré !
J'ai tout de suite reconnu la sonorité du Bösendorfer de ma mère, déjà comme décrit lors de la première écoute, concernant les 3 registres graves (basses) - medium et aigu, mais cette fois-ci avec une meilleure perception des basses en niveau (tout en conservant leur très grande richesse), simplement du fait que lors de la première écoute, je n'avais pas suffisamment amplifié le son, enregistré à un assez faible niveau, il faut le dire (potentiomètre de volume de l'ampli Viva 2A3 à 13 h) alors que je viens de réécouter ce soir ce même enregistrement, cette fois-ci avec le potentiomètre de volume de l'ampli à 14 h.
Avec ce niveau d'écoute sensiblement plus élevé, cela donne, avec le Thror, une écoute bien plus dynamique et surtout bien plus proche du niveau réel que devrait entendre le pianiste (mon frère) en vrai en jouant sur le piano tout au long de ce long enregistrement.
Avec le potentiomètre de volume de l'ampli Viva 2A3 à 14 h, le niveau des basses est renforcé, mais proportionnellement plus (à l'audition) que le medium et l'aigu : ces deux derniers registres semblent alors très bien équilibrés et plus en adéquation avec le niveau des basses (et la puissance des basses) du piano.
C'est fort en niveau sonore, mais le piano, couvercle ouvert, joue également fort voir très fort : c'est un instrument très puissant, le piano Bösendorfer 200.
Juste un mot concernant les conséquences de l'ouverture du couvercle du piano Bösendorfer 200 par rapport à la position couvercle fermé : et bien, cela a pour conséquence d'augmenter assez nettement la puissance (et la projection) du medium et de l'aigu de l'instrument, tout, proportionnellement, de réduire dans le même l'importance des basses perçues (qui sinon sonnent en proportion plus fortes (par rapport aux deux autres registres) quand le couvercle est fermé).
Dans ces conditions, piano ouvert (couvercle ouvert), le piano Bösendorfer 200 de ma mère sonne très fort, et dans les fortissimo, souvent trop fort pour la plupart des oreilles (et prothèses auditives pour les personnes âgées) qui distorsionnent...
Sinon, je pensais aussi à une autre raison, qui pourrait faire percevoir les basses d'un Bösendorfer 200 comme plus faibles que les deux autres registre (medium et aigu), en plus du fait que le couvercle du piano soit ouvert (ce qui atténue les basses), et bien cela viendrait alors du fait du casque lui-même (et ses limitations intrinsèques) ; en effet le casque ne peut pas reproduire en son entier, sur tout le corps, les vibrations des basses originelles du piano, intenses et profondes, d'où une perception un peu tronquée de la fondamentale des notes les plus basses du piano écouté au casque, non perçues viscéralement par le corps entier comme le serait le pianiste (ou un spectateur) situé tout à côté du piano (d'où la remarque de mon frère Bruno dans son dernier post disant que l'on perçoit moins la fondamentale des notes les plus basses du piano sur son enregistrement à 3 micros (écouté avec le Thror) par rapport à la réalité du pianiste, qui lui perçoit mieux ces notes très basses, puissantes, ronflantes, en partie parce que c'est le corps du pianiste qui ressent (perçoit) ces vibrations sonores très basses, plus que son oreille interne).
Là, cela devrait faire plaisir à Pierre, puisque la solution pour une écoute "entière" du piano au casque, dans les notes les plus basses, serait alors d'apporter un caisson de basse (couplé au casque) pour faire percevoir à l'auditeur toute cette information manquante, en entier, de manière non tronquée, pour mieux reproduire toute la puissance (corporelle) émise par le piano dans les basses, comme peuvent le produire un piano Bösendorfer semi-pro de 2 m, et comme perçu par un spectateur (et le pianiste) situé à côté du piano.
Reste à savoir, si les timbres et harmoniques des basses du piano seront retransmises avec fidélité avec un sub (couplé au casque), sans justement détimbrer les basses qui font toute la richesse harmonique d'un piano Bösendorfer.
D'après mon frère Bruno, l'autre solution (apparemment plus facile), celle d'égaliser l’enregistrement au micro du piano en post-production en boostant les basses (avec l'EQ), serait mal adaptée, car cette solution "détimbrerait" les basses du piano, pour les raisons compliquées expliquées par mon frère ce matin dans son mail, mais qui me paraissent pertinentes .
Quote (mon frère Bruno) dans ce mail :
"(NB il est toujours très difficile de régler le niveau des notes basses d’un piano à l’équalizer – ce que je n’ai volontairement pas fait ici – car le niveau sonore d’une note grave est largement réparti sur plusieurs harmoniques
Ex do grave à 32hz à un niveau de n db sur la fondamentale 32, mais généralement aussi d’un niveau de l’ordre de 2 x n db sur l’harmonique 2 à 64hz, de l’ordre de 1.5 x n db sur l’harmonique 3 à 96hz, 1.2 x n db sur l’harmonique 4 à 128 hz, …
Ce qui serait éventuellement gérable si le piano ne comportait qu’une note basse, mais dégénère très vite car par exemple pour le ré grave à 37hz, tous ces réglages sont alors « décalés » et le son très peu fidèle…)
Au-delà de 4khz, ces réglages sont plus profitables car la perception de l’oreille est plus globale et les harmoniques de rang élevé des notes basses et médium se mélangent, surtout au-delà de 8khz,
toutefois, un excès de fréquences supérieures à 8khz peut être perçu globalement comme générant un son trop « dur », également plus fatiguant pour une écoute de longue durée ".
Cela dit, grâce à l'artifice d'écouter à un niveau sonore un peu plus élevé ce soir (que lors de la première écoute de ce même enregistrement), et bien la perception des basses perçues du Bösendorfer de 2 m de ma mère, et leur équilibre relatif par rapport aux registres médium et aigu, m'ont parus très satisfaisants pour cet enregistrement à 3 micros (sans EQ) et avec l'écoute du casque Thror.
Avec ce niveau d'écoute sonore (au casque) à un niveau plus élevé qu'hier soir, et àmah plus réaliste, les basses du piano étaient bien présents, ronflants si il le fallait, tout en conservant leur magnifique texture, qualité des timbres et richesse harmonique (sans "détimbrement") avec une dynamique explosive (sans compression) qui àmha peut mettre à mal certains casques (autre que le Thror) (nb: vibrations/saturations à craindre) pour l'écoute à niveau réaliste que je viens de faire ce soir (potentiomètre de volume de l'ampli Viva 2A3 à 14 h au lieu de 13 h).
Pour vous en convaincre, je vous invite à écouter l'enregistrement de mon frère (à 3 micros sans EQ au lien donné ci-dessus) qui dure 80 minutes environ ; mais pour vous faire gagner beaucoup de temps, vous pouvez d'emblée zapper (en vitesse accélérée) les 38 premières minutes de cet enregistrement (correspondant au départ à un enregistrement note par note des 88 notes du clavier du piano, un peu fastidieux à écouter et peu attrayant à entendre pour un mélomane, mais pas pour un technicien du son ).
A partir du temps 38' jusqu'à 50', mon frère joue de très beaux morceau de piano, et je vous invite à les écouter : pour moi, c'est réjouissant à entendre ; et je pense que ce sera de même pour vous (au niveau sonore qui vous conviendra le mieux).
A partir du temps 56'40" cela devient très intéressant pour une écoute à niveau réaliste (c'est à dire fort) (pour moi, potentiomètre de volume du Viva 2A3 à 14 h) de toute une série de notes jouées par mon frère, de manière répétées, sur différents registres ; vous découvrirez alors, à la fois la puissance du piano Bösendorfer 200, la force des attaques (qui peuvent faire saturer un casque et/ou vos oreilles) (ce qui est le cas dans la réalité pour les oreilles), et aussi la richesse harmonique de chaque combinaison de notes qui raisonnent entre les cordes et la table d'harmonie du piano (le cœur du piano qui fait toute la typicité et la richesse des pianos Bösendorfer, en l’occurrence, le modèle 200 (2 m) de ma mère).
Puis je vous invite à écouter cet enregistrement aux temps 76' et 77', précisément, où vous entendrez de nouveau l'incroyable richesse harmonique du piano (y compris avec un Thror ! ), et la durée phénoménale des "extinctions de notes" (pédale enclenchée) qui s’éternisent pour ne plus en finir sur la table d’harmonie du piano, dans ces enregistrements, à ces deux temps.
Enfin, pour finir, je vous invite à écouter le morceau de musique final de mon frère (aux temps 78' à 80') : morceau de musique final, montrant tout la puissance et la très grande richesse harmonique de ce piano Bösendorfer de 2 m, tel que enregistré de manière "amateur" par mon frère.
Juste une note (jeu de mot ) à vous donner, tout ce qui a été joué par mon frère dans cet enregistrement ci-dessus l'a été sans aucune partition de musique, uniquement de mémoire ou lors d'improvisations / adaptation de morceaux de musiques connus ...
Bravo pour lui (de ma part)
Eric