Pour rester dans le contexte, l’enregistrement peut aussi subir les facéties des nécessités techniques qui relativisent toujours plus les tentatives d’incursion dans l’univers d’une œuvre jouée.
Ainsi du disque connu de Barenboim, la troisième symphonie de Saint-Saëns, orchestrant le Chicago Symphony Orchestra, en 1976 où l’organiste Gaston Litaize tenait l’orgue à Chartres:
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/saint ... 2894790559
Ou Karajan au Berliner avec Pierre Cochereau à l’orgue de Notre-Dame de Paris, toujours maître dans l’art de la com vu la pochette
https://www.deutschegrammophon.com/en/cat/4390142?
Mais il faut reconnaitre que même si ces collages d’un orgue à un endroit avec un orchestre situé à un autre reste un amalgame, un subterfuge, c’est très bien fait, ça sonne tout de même fort bien et ça s’écoute avec plaisir. Il y a de très beaux faux, c’est connu (AA l’audiophile).