DAC et Audiophilie: pour une symbiose raisonnée
Publié : jeu. nov. 01, 2018 6:43 pm
Bonjour tous,
Effectivement Pierre, l’audiophilie est avant l’aspect technique une expérience d’écoute dépendante de nombreux facteurs dont l’oreille et son apprentissage.
A notre époque, la technologie en matière de reproduction musicale évolue rapidement et les casques modernes sont un bel exemple des capacités techniques de ce type de transducteur comparativement aux enceintes: timbres, précision, détail, vélocité, effet ‘holographique’ en moins, quoique.
Au point désormais que des techniciens du son utilisant des outils pros pouvant être moins résolvants (enregistrement, mixage, mastering sur cartes PC par le même ingénieur) restent surpris de détails à la reproduction qu’ils n’avaient pas entendus au mastering
J’ai vu un studio équipé d’appareillage gamme Nagra HD pour vérifier leurs masterings
En effet un problème spécifique à la musique classique est que les enregistrements ne sont plus envoyés au studio de mastering.
A lire l’étonnante thèse de M Genas sur le sujet:
http://www.fsms.fr/wp-content/uploads/2 ... -Genas.pdf
De là une méconnaissance des techniciens du son dans les aspirations des audiophiles en matière de recherche hifi et des montants qu’ils sont disposés à payer pour le meilleur réalisme de reproduction.
Or les DACs rentrent dans ces catégories d’appareils de grande importance dans la chaîne musicale.
L’utilisation massive de PC (sortie USB) et des puces de conversion processorisées en lien avec l’arrivée du HiRes ont ‘facilité’ certes la conception de DACs qualitatifs mais ‘uniformisé’ le rendu musical faisant penser à une égalisation générale de la conversion D/A pour laisser à l’étage de sortie (préamplificateur), à l’amplificateur et au transducteur le soin de ‘finaliser’ le son.
Or la technologie montre qu’un processeur chargé d’un calcul massif (upsampling sur PC ou puce DS) génère des harmoniques de bruit toxiques au message musical, certes de haute fréquence mais influentes. Au point que des ingénieurs audio pensent par ex que AKM est arrivé avec ses dernières puces à la limite de l’intégration de composants.
De fait les concepteurs de DACs évolués derniers cris quittent l’univers PC et puces DS pour exploiter les matrices de type FPGA suivies d’étages NA ‘discrets’ (résistances ou silicium).
Citons Chord, TotalDAC, dCS , etc , et EMM Labs.
DAC et Audiophilie sont indissociables.
Effectivement Pierre, l’audiophilie est avant l’aspect technique une expérience d’écoute dépendante de nombreux facteurs dont l’oreille et son apprentissage.
A notre époque, la technologie en matière de reproduction musicale évolue rapidement et les casques modernes sont un bel exemple des capacités techniques de ce type de transducteur comparativement aux enceintes: timbres, précision, détail, vélocité, effet ‘holographique’ en moins, quoique.
Au point désormais que des techniciens du son utilisant des outils pros pouvant être moins résolvants (enregistrement, mixage, mastering sur cartes PC par le même ingénieur) restent surpris de détails à la reproduction qu’ils n’avaient pas entendus au mastering
J’ai vu un studio équipé d’appareillage gamme Nagra HD pour vérifier leurs masterings
En effet un problème spécifique à la musique classique est que les enregistrements ne sont plus envoyés au studio de mastering.
A lire l’étonnante thèse de M Genas sur le sujet:
http://www.fsms.fr/wp-content/uploads/2 ... -Genas.pdf
De là une méconnaissance des techniciens du son dans les aspirations des audiophiles en matière de recherche hifi et des montants qu’ils sont disposés à payer pour le meilleur réalisme de reproduction.
Or les DACs rentrent dans ces catégories d’appareils de grande importance dans la chaîne musicale.
L’utilisation massive de PC (sortie USB) et des puces de conversion processorisées en lien avec l’arrivée du HiRes ont ‘facilité’ certes la conception de DACs qualitatifs mais ‘uniformisé’ le rendu musical faisant penser à une égalisation générale de la conversion D/A pour laisser à l’étage de sortie (préamplificateur), à l’amplificateur et au transducteur le soin de ‘finaliser’ le son.
Or la technologie montre qu’un processeur chargé d’un calcul massif (upsampling sur PC ou puce DS) génère des harmoniques de bruit toxiques au message musical, certes de haute fréquence mais influentes. Au point que des ingénieurs audio pensent par ex que AKM est arrivé avec ses dernières puces à la limite de l’intégration de composants.
De fait les concepteurs de DACs évolués derniers cris quittent l’univers PC et puces DS pour exploiter les matrices de type FPGA suivies d’étages NA ‘discrets’ (résistances ou silicium).
Citons Chord, TotalDAC, dCS , etc , et EMM Labs.
DAC et Audiophilie sont indissociables.