Oui, @Trebor, l’esprit pur relié à la musique, mais déjà Pierre rajoute l’émotion et tu peux aussi rajouter ta culture qui fait que ton oreille jusqu’à ton plaisir cérébral (exactement comme la nourriture) est formatée à certaines longueurs d’ondes qui te sont familières depuis le ventre de ta mère, tes conditions physiques à ce moment (comme @Luke le décrit bien), etc.Pierre Paya a écrit : ↑sam. août 01, 2020 7:23 amBonjour Robert,
Nous sommes sur le même chemin, sauf que pour ma part, je considère que l'émotion est la bienvenue et doit participer à mes écoutes.Trebor a écrit : ↑sam. août 01, 2020 7:03 am.....Pour moi, toute activité cérébrale, mentale, émotionnelle, intellectuelle, cognitive n'a rien a faire dans ma relation directe, en "face-à-face", entre ma conscience qui écoute et le son qui se présente à elle. J'estime que la musique s'apprécie pleinement quand plus aucune trace mentale ne vient s'interposer entre le son et moi. Je ne dis pas que j'y arrive tout le temps, je dis simplement que c'est le chemin que j'emprunte.
Nous allons donc bientôt nous croiser.
Pierre
La discussion est intéressante mais la dissociation corps-esprit n’est pas possible sans médicaments (appelés drogues). Baudelaire en utilisait pour écrire les Fleurs du Mal.
Pour certaines raisons involontaires je l’ai vécu comme Pierre le sait
Exactement, René, la conscience intellectuelle d’une partition n’est pas élitiste mais culturelle comme apprendre à lire aide à mieux s’imprégner d’un texte littéraire que seulement l’écouter en récit.
Je conseille vivement l’étude de l’Histoire de la Musique