Un sujet est ressorti du fil Kennerton concernant le rendu des casques relativement à certaines fréquences, principalement l’aigu, qui peut influencer le ressenti de l’audiophile vis-à-vis du casque.
En dehors de certaines caractéristiques propres au casque qui peuvent favoriser une certaine ‘acuité’ de l’aigu, comme relevé par les commentateurs, l’enregistrement est un facteur parfois déterminant dans le problème.
Voici des analyses fréquentielles de fichiers musicaux réalisées par un labo spécialisé qui démontrent l’évidente non-dite (fréquente ?) manipulation et pas toujours maîtrisée technique de ce type de fichiers par les techniciens du son (et labels, pas des moindres,..



Ceci juste des exemples parmi des tas d’autres.
Pour les ‘sifflantes’, le cas de l’album d’Arianna Neikrug.
En découle aussi une raison de l’importance du DAC dans la conversion des fichiers numériques en analogique.
Ainsi le DAC R2R seul ‘fidèle’ au fichier source, fidèle à quoi ?
Et les différences de comportement des électroniques selon les DACs relativement à ces discontinuités et parasitages dans le flux numérique.
Surtout d’importance avec le niveau actuel des matériels casques.